Vendredi 25 et samedi 26 septembre 2020 de 9h30 à 17h au Centre Gemeb
Le plasma, c’est fantastique…
Nouveau venu dans les traitements de la calvitie, en soins post-op ou en traitement initial, le Recle PL est un appareil auquel on peut prédire un bel avenir. Facile d’utilisation, maniable, transportable et bien « designé », il peut être utilisé par le médecin au cabinet ou par le patient, à domicile et sans supervision médicale. Avec ses trois programmes (puissances) intégrés, ce traitement de l’alopécie par l’énergie plasma convient aussi bien aux alopécies modérées et débutantes qu’aux chutes de cheveux plus sévères et installées.
Traitement de l’alopécie par l’énergie plasma, comment ça marche ?
Recle.PL est un nouveau système d’aide à la repousse des cheveux fins, affaiblis et dévitalisés, utilisant l’énergie Plasma. Grâce au système Recle.PL et son plasma actif, il est possible de diffuser n’importe quelles micro-molécules dans les couches vivantes de l’épiderme et atteindre les zones plus profondes de la peau et plus particulièrement du cuir chevelu. Son utilisation est des plus simples : l’énergie plasma est transmise par simple contact cutané avec le cuir chevelu et a pour effet de faciliter et amplifier la repousse. Les sessions durent 10 minutes environ à raison de 1 à 3 applications par jour. Le Recle. PL peut s’utiliser avec ou sans complément. Il est toutefois recommandé, pour maximiser ses effets, de lui associer l
HSC sera présent au prochain congrès mondial de médecine esthétique et anti-âge de Monaco du 4 au 7 avril 2018.
L’ANSM réitère son interdiction de la PRP à visée non thérapeutique
Le 18 janvier 2018, l’ANSM* a publié un communiqué rappelant l’interdiction des injections de PRP en France pour les traitements esthétiques. Ce rappel à l’ordre vise spécifiquement les médecins proposant des actes de rajeunissement par PRP. Cette technique est en effet couramment utilisée pour le comblement des rides, le repulpage de la peau ou traitement de l’alopécie… Et ce malgré la législation en vigueur.
HSC est présent au congrès annuel de la SOFMMA, nous y dispenserons une formation en microgreffe capillaire.
Le Propecia en question
La polémique sur le Propecia, médicament prescrit à 30 000 hommes contre la perte des cheveux, prend de l’ampleur. Pour la première fois, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a lancé une alerte sur les risques liés au Propecia. Elle en informera aujourd’hui les professionnels de santé à l’occasion d’une réunion avec le Collège national des médecins généralistes. Objectif : mettre en garde les patients contre cette molécule (Finasteride) qui permet de traiter une légère augmentation du volume de la prostate chez les seniors mais aussi, à plus petite dose, de réduire la calvitie chez des hommes plus jeunes. Elle est pour cela commercialisée sous le nom de Propecia depuis 1999. Cette molécule, prescrite à 30 000 patients est connue pour bloquer l’action de la testostérone. Elle accumule aujourd’hui les effets indésirables. « Des cas de dépression et d’idées suicidaires ont été signalés en plus des troubles sexuels, déjà connus. Ces effets ne sont pas réellement prouvés mais le principe de précaution s’applique » explique la docteur Caroline Semaille, directrice des médicaments anti-infectieux, en hépato-gastro-entérologie et en dermatologie à l’ANSM. Le message est clair : en cas de symptôme psychiatrique, arrêtez immédiatement ces comprimés et consultez rapidement un médecin. Cette mise en garde de l’ANSM intervient alors que l’Agen
French tech et innovation
Avaneo a été créé en 2016 suite à un constat concernant le manque d’accès des patients à certaines technologies innovantes dans le domaine de la santé. Cette société française propose ainsi le premier traitement autologue de l’alopécie au cabinet. En effet, les grands groupes pharmaceutiques et médicaux contrôlent le marché de la santé en France en laissant peu de place aux nouveautés issues de sociétés indépendantes. Celles-ci proposent pourtant des dispositifs médicaux et autres produits de pointe, respectueux des normes et apportant des solutions nouvelles pour les patients, mais ces produits n’intéressent pas forcément les grands groupes car hors de leurs critères financiers. C’est pourquoi Avaneo se propose de distribuer ces produits afin d’en faire bénéficier l’ensemble des personnes résidant en France.
Un traitement autologue de l’alopécie
L’utilisation du Regenira pour le traitement de l’alopécie naissante à modérée produit des résultats très prometteurs (+ de 5 000 patients traités dans le monde) et offre plusieurs avantages : Avantages
- Intervention invisible et peu douloureuse
- Retour immédiat à une activité normale
- Traitement avec vos propres cellules donc sans effets secondaires
- Repousse progressiv
L'étude de la douleur conduit à une médecine humaine en tous ses gestes
La douleur est un frein au rétablissement
La gestion de la douleur pendant une greffe de cheveux est un élément essentiel de l’intervention. Elle garantie bien sûr le confort du patient mais permet aussi rétablissement plus rapide. Un patient qui ne souffre pas va pouvoir se mouvoir plus facilement. On sait aussi qu’un patient douloureux a plus de risque de souffrir de douleurs chroniques après la chirurgie. Enfin, soulager les douleurs post-opératoires permet de retarder et de réduire la prise d’antalgiques puissants type morphine aux effets secondaires importants.
Les analgésiants de nouvelle génération
Traditionnellement, les médecins pratiquent une anesthésie locale lors d’une microgreffe capillaire. L’inconfort et la douleur pendant une greffe de cheveux peuvent en effet être importants. D’autant que cette intervention est longue (4 à 9 heures selon le nombre de greffons à implanter et la sévérité de l’alopécie). Aujourd’hui de nouvelles techniques moins invasives et plus faciles d’utilisation existent. Parmi elles, les gaz thérapeutiques ou bien les méthodes alternatives comme l’hypnose…
Kalinox par Air Liquide
Les gaz thérapeutiques ou médicinaux sont des médicaments utilisés pour ventiler, oxygéner, anesthésier un patient, soulager la douleur lors d’un acte douloureux. La molécule de protoxyde d’azote, connue pour